Bonsoir,
Je suis bipolaire, sans traitement, sans voir de psychiatre qui ne me sert qu'à prescrire des ordonnances surchargées pour... 2 Mois.
Si cela peut aider, pourquoi je refuse désormais de l'écouter ?
Elle n'écoute pas justement et, ne sais que prescrire des tas de "poisons".
Une super-ordonnance avec 3 composants, 15' d'écoute passive et, circulez, il n'y a rien à voir.
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Comme la médecine générale, la psychiatrie a subit une crise entre 2007 et 2016.
Conséquence : de moins en moins de psychiatres, à présent recrutés en Pologne, pour de plus en plus de patients.
D'où difficultés à être suivi correctement.
Elle voudrait me voir interné pour être tranquille et, s'est opposée ou du moins n'était pas très encline à ce que je fasse des démarches moi-même pour faire valoir la reconnaissance de mon handicap après avoir perdu mon emploi...
Le meilleur PSY ne peut être pour une personne atteinte de bipolarité, que l'entourage proche, familial, amical, affectif, connaissant et respectant le malade avant même que sa pathologie ne se déclare.
L'échange, l'écoute, la sympathie, l'affection sont de bons remèdes s'ils sont prodigués de façon suivie.
Quand aux médicaments, ils ne sont, selon la personne, pas toujours efficace, non sans effets à long terme, et parfois à effets contradictoires.
Tout ceci fait, que la bipolarité est bien un mal très complexe de par son évolution incessante, ses effets très différents d'un patient à l'autre et, de la méconnaissance générale.
Les nombreuses associations et fondations œuvrent chacune dans leur coin et, sont plus promptes à récolter des dons qu'à trouver ou mettre en œuvre de véritable solutions concrètes, pérennes.
Humainement.