Depuis, plus aucune nouvelle... elle disait qu'elle devait vivre dans l'anonymat mais elle change toujours de photo de profil facebook tous les trois jours. elle a même change de nom et prénom sur face...[/size]Une de mes amies l'a vu à IKEA acheter des coussins et des trucs de salle de bain... elle a des photos avec un mur noir derrière elle maintenant alors que chez elle tout était blanc. Je ne sais même pas si elle a déménagé, rien... elle ne veut plus me parler...Je lui ai envoyé un émail pour lui dire mon ressenti sur les disputes dans notre relation mais elle ne m'a rien répondu..."Dans les bons moments, tu étais une femme extraordinaire, éclatante, spontanée, la joie de vivre la plus inouïe que je connaisse. Je t'aime comme je n'ai jamais aimé personne, tu es la femme la plus sensible et la plus merveilleuse que je connaisse. Tu es talentueuse, efficace et expéditive dans tes activités et merveilleusement chaotique dans des domaines plus cartésiens. Tu étais candide, fofolle, souvent très joyeuse. Une personnalité tellement riche et fragile dont je ne peux m'imaginer me passer. Il n'y a pas d'autre femme avec qui j'aimerais faire ma vie à l'heure actuelle.Il y avait des moments où tu avais des phases plus "irritables" pendant lesquelles je me sentais rejeté ou non pris en considération. Tu tentais de me dire que tu n'allais pas bien, que tu avais parfois besoin de ta bulle et j'étais tellement présent et à vouloir le supporter. J'avais l'impression que parfois tu te sentais vide et triste, que tu te morfondais, que tu avais besoin de te replier sur toi même par tes petites "absences". J'avais l'impression que tu avais peur de toi même dans ces moments là, comme si tu sentais que tu allais bientôt faire une catastrophe ou me blesser. Je voulais essayer de ne pas te blesser dans ces moments là mais je me sentais rejeté alors parfois je m'énervais parce que je ne comprenais pas. Te critiquer dans ces moments faisait pire que mieux mais je ne le savais pas. J'avais l'impression que quand je te faisais un reproche, tu pensais que je te détestais toute entière. Mais je suis une personne forte j'étais capable d'endurer tout cela. Je savais que tu ne pensais pas ce que tu disais quand tu me provoquais ou me faisais des attaques mais c'était plus fort que moi, j'en souffrais profondément car te voir passer d'une femme joyeuse à une femme triste qui fait des reproches, à te voir me dire que je suis tout pour toi et le lendemain me sentir comme un moins que rien, ça faisait mal. Je savais que ta colère s'effaçait vite mais à chaque phase où j'avais l'impression que tu sombrais, on avait des disputes, et ça nous faisait du mal à tous les deux. Tu me disais que tu étais dans une phase noire, que ça allait passer. Tu savais tout le temps que tu avais un "problème" quelque part car tu me le disais, tu le ressentais, tu disais que ça passerait. Je sais que tu étais consciente de tout cela et c'était ça le pire et qui était difficile à comprendre. J'avais l'impression que tu savais qu'on foutait tout en l'air si tu ne faisais pas attention, tu me le disais sans cesse dans tes messages.Tu te sentais facilement attaquée, tout le temps sur la défensive, en plus de cela les peurs et les angoisses de ton passé te submergeaient tout le temps. J'avais l'impression que tu te vivais dans la culpabilité quand tu te laissais emporter par tes émotions. Et le fait que j'essayais d'ouvrir tes yeux car je ne comprenais pas ta souffrance n'arrangeait rien. Tout simplement parce que je n'avais pas les clés pour comprendre. Tu me faisais toujours des attaques sur mes comportements, comment j'agissais, à chaque fois des crises épouvantables. J'hurlais pour essayer de te faire comprendre et je tombais dans un monologue étrange où j'essayais de te faire comprendre ma propre douleur et tu faisais pareil, tu ne m'écoutais pas, tu étais dans un monologue, tu ne voulais pas entendre quand je voulais te rassurer, que je te disais que je t'aimais, comme si c'était inconcevable pour toi de l'admettre que tu puisses être aimée. Je n'ai jamais réussi à te calmer, toutes les fois où j'essayais, même quand je te prenais dans mes bras et que je te faisais un câlin. A chaque fois, tu me disais que tu ne voulais plus de moi et le lendemain tu me disais que tu ne savais pas vivre sans moi, que tu ne voyais pas ta vie sans moi. J'avais l'impression de marcher sur des œufs, de vivre dans l'angoisse et le stress. Je n'ai jamais compris comment tu pouvais dire que tu m'aimais si fort et à chaque fois vouloir m'abandonner quand tu étais contrariée même pour des petites choses. Mais je ne comprenais pas que tu ne cessais pas de m'aimer, juste que tu étais en souffrance, pour des peurs infondées.Tu pouvais changer du tout au tout, et ce même sans raison apparente. Déprimer d'un coup et rester perdue dans tes pensées. Lors des crises, qui généraient souvent de multiplies disputes car tu te mettais en colère toute seule, tu me reprochais plein de choses et était en colère contre tout, y compris contre moi même et toi même. Tu me disais des choses blessantes, réellement méchantes par moment, hors de toi pour tout. J'essayais de ne pas prendre sur moi ces méchancetés. Après cela, tu culpabilisais, tu t'excusais ou tu déprimais encore plus. Je suis certain que tu étais consciente de tes réactions disproportionnées c'est ça le pire dans l'histoire. Je sais que tu souffrais de la situation.Hors ces périodes de crises, tu étais gentille, drôle, joyeuse, un vrai rayon de soleil dans ma vie. La plus abordable, la plus douce, la plus souriante. Mais ensuite, les crises revenaient et tu ne supportais plus rien. Ton humeur était normale tout en restant fragile et tout d'un coup, sans savoir pourquoi, tu plongeais dans une sorte de déprime, pleurer toutes les larmes de ton corps, souffrir à l'intérieur de toi même, te torturer l'esprit avec des questions, des peurs infondées sauf que toi tu les croyais fondées mais elles ne l'étaient pas. C'était comme s'il y avait un duel permanent dans ta tête. Je n'arrivais plus à suivre ces différents états, je ne comprenais pas. Je ne savais jamais où cela pouvait mener, je ne comprenais pas ce qui pouvait te rendre si triste d'un coup. Les cycles se répétaient inlassablement. Dans ces moments où tu voyais tout en mode bizarre et irréel, je te disais que je t'aimais, tu l'entendais, tu l'assimilais et deux secondes après tu me disais "oui mais..." ou tu pensais "pourquoi as tu fait ceci ou cela alors?", inlassablement ça tournait en boucle. Tu décortiquais chaque mot pour toujours essayer de trouver du négatif.Une impression que tu ne contrôlais pas grand chose à l'intérieur de toi même, tu subissais, vivais avec, apprenait à essayer de gérer et pour compenser tu essayais de contrôler notre relation. Comme si parfois tu passais des journées et des nuits entières à te dire que c'est faux ce que tu penses. C'est difficile pour une personne proche, parce que le moindre mot peut être vite mal pris et cela peut partir dans tous les sens. Tu interprétais tout mal. J'avais l'impression quand j'essayais de te rassurer et que cela ne fonctionnait pas qu'il fallait m'énerver mais du coup je touchais un point sensible et ton mode de réaction était de me dégager de ta vie. Alors que je n'ai jamais voulu te faire du mal.C'est comme si tu avais une dépersonnalisation, un moment où tu n'étais plus capable de faire le lien entre le toi intérieur et le toi extérieur. Des moments où tous les symptômes revenaient en vrac encore plus fort que d'habitude. Après une période d'accalmie, le monstre de tes angoisses revenait en vitesse et incontrôlable, avec plus de puissance. Malgré les heures à te rassurer... dans ces moments j'avais l'impression que tu n'avais pas de cœur, que tu ne ressentais aucune émotion, une machine froide vidée de tout sentiment. Contraste énorme avec la fille que j'aimais et qui pouvait être si joyeuse et magnifique. Hypersensibilité, hyperémotivité, dévalorisation de toi même et conséquences sur notre couple.Tu te mettais dans des états pas possibles mais tout en étant parfois lucide, tu allais dans ta bulle, ton autre monde, avec tes pensées irréelles que tu sortais de façon inadaptée. J'ai souffert d'attaques d'une violence incroyable alors que tu pouvais me dire des choses tellement belles et magnifiques, aucun aspect de ma personne n'était épargné dans ces moments là, cela me mettait dessous de terre, faisant de moi tour à tour le plus typique des hommes, l'exemple même du non-homme, détruisant systématiquement les piliers de ma confiance en moi alors que je savais que tout cela était faux. Je ne comprenais pas que tu puisses me faire du mal autant parfois sans la moindre empathie alors que tu pouvais être si sensible et émotionnelle et si parfaite. Dans ces moments, tu ne prenais pas en compte ma douleur alors que moi je devais essayer de comprendre la tienne et me calmer tout en subissant des attaques. Pratiquement impossible à concilier. Je me suis senti mal aimé, méprisé, inexistant, réduit à un apport utilitaire, ne comprenant pas comment tu pouvais à certains moments être si tendre, si amoureuse, si pleine d'admiration pour moi, et à d'autres le pire ennemi que tu n'as jamais eu. Je ne comprenais pas comment tu pouvais exalter la sincérité et être capable de dire tout et son contraire, de travestir la réalité ou déformer des faits pourtant incontestables. Comment tu pouvais te plaindre du manque de dialogue alors que ces "dialogues" étaient des attaques en règle, dans lesquelles tu ignorais ou corrigeais ce que je disais, étant apparemment la seule de nous deux à savoir ce que je pensais et pouvais ressentir.J'ai souffert du manque de confiance que tu avais en moi, dans la force des sentiments que j'éprouvais pour toi. Tu ne croyais pas en mon amour, me demandait preuve sur preuve, l'une étant systématiquement balayée pour une autre à venir. Je me rendais compte que rien de ce que je faisais n'avait d'importance, que je pouvais répéter 100 fois les mêmes choses sans que tu sembles les comprendre, alors que le moindre mot négatif, le moindre geste que tu pouvais interpréter comme un manque d'amour s'ajoutait à la longue liste des griefs contre moi et que tu ressortais à chaque fois comme preuve lors d'un prochain procès que tu allais me faire. Je devais comprendre ce que tu pensais, ce que tu désirais sans même que tu me le dises.Je t'en veux un peu de ne presque jamais accepter au moins une part de responsabilité dans nos problèmes, me rendant à chaque fois seul coupable de tout alors que c'est ton angoisse intérieure qui nous détruisait, ton passé. Tu me faisais toujours des déclarations d'amour, tu disais que j'étais tout pour toi, que tu étais folle amoureuse, que tu avais envie qu'on soit le couple le plus fort de tous aux yeux de tous (ce que je désirais ardemment). Je ne comprenais pas pourquoi la plupart du temps, tu voulais toujours sauver la face, ne jamais reconnaitre que tu avais pu dire des choses fausses ou même jamais ne m'exprimer un pardon.Parfois tu me quittais et tu cherchais des moyens détournés de garder le contact, tu étais capable de justifier ta décision avec un discours dans lequel il était évident que tu ne voulais pas cette séparation et que dans ton esprit on était toujours ensemble. Tu ne te voyais pas vivre sans moi...Dans les pires moments, je pouvais t'affirmer haut et fort que j'étais raide dingue de toi, que je t'aimais, et toi me dire que tu ne m'aimais plus et que tu me détestais.A ne pas voir son amour reconnu, ne pas se sentir aimé en retour dans ces crises, le drame d'une telle relation est de constater que l'amour peut ne servir à rien.Malgré cela je ne suis pas effrayé, je ne veux pas passer mon chemin et me dire que tu es trop difficile à vivre mais cela en vaut tellement la peine. C'était une relation passionnée et brutale mais je sais que c'est plus fort que toi. Tu étais très émotive, impulsive, imprévisible et angoissée. J'avais l'impression que tu avais une hyperémotivité embarrassante, angoissante et un équilibre difficile à garder. Tu avais peu confiance en toi, un besoin quasi permanent d'être rassurée. Une vision assez instable de toi même, tantôt enthousiaste, tantôt insignifiante qui pouvait être source de grande angoisse. J'avais l'impression que tout était instable dans nos relations, une relation forte en intensité portée par des sentiments extrêmes évoluant entre amour et haine. Il y avait des moments de calme apparents et d'autres marqués de conflits intenses. Ces conflits étaient souvent générés par ta crainte d'être abandonnée, une grande susceptibilité et une méfiance soudaine voir paranoïaque de moi même... Parfois tu en arrivais même à oublier mon ressenti et mes sentiments, ce que je ressentais et vivait dans ces moments là. Comme si tu étais concentrée sur ta propre douleur et la mienne, ce que j'éprouvais dans cette souffrance, ne comptait pas. J'avais l'impression d'être toujours mis à l'écart dans les disputes alors que moi j'essayais et je devais impérativement te comprendre sous peine d'une attaque viscérale.Tout cela était un jeu de bascule entre sentiment de vide et émotions fortes. En un rien de temps, tu pouvais passer du rire au larme, du profond mal être à la jouissance. J'avais l'impression que sous le coup de l'impulsivité, le seul moyen que tu trouvais pour soulager ce mal être était de t'attaquer à moi, notre amour, notre lien, la seule chose en somme qui méritait d'être préservée et qui demandait du soin, des efforts, beaucoup d'amour, de compréhension. Encore à l'heure actuelle, même si c'est fini, j'essaie de te comprendre tellement je tiens à toi, n'analyse objectivement et je sais que je pourrais supporter cela toute ma vie car tu es une femme d'une valeur inestimable et incroyable pour moi. Je ne veux personne d'autre, seulement toi. Je n'ai pas peur de souffrir, d'avoir des coups durs pour t'avoir à mes côtés. Les gens ne remarquent pas ce que moi je ressens, ce que je vois de toi, je suis hyper empathique et j'ai senti ton incroyable sensibilité mais aussi ton instabilité dès le départ.Je ne comprenais pas tout cela... mais dans ces moments difficiles j'ai compris maintenant que j'aurais du te rassurer directement, faire ce que tu demandais. Je n'aurais pas du juger la situation, te rassurer comme j'essayais de le faire. Je te complimentais sur tes qualités et tes valeurs personnelles. J'aurais du rester ferme lorsque nécessaire, lorsque tu dépassais les limites mais j'avais peur que tu me trompes si je faisais cela et que tu penses que je ne t'aimais pas. Je savais que ta colère était liée à ta peur profonde d'être abandonnée.Derrière tout cela pourtant se cache un être adorable, avec des qualités humaines exceptionnelles, une sensibilité à fleur de peau, parasitée par une souffrance extrême et le désir d'en sortir à tout prix. Tu es quelqu'un dont je suis tombé amoureux parfois que j'ai pu à la fois apercevoir tes trésors mais aussi tes douleurs. Tu es altruiste, tu étais capable d'autodérision, de te moquer de toi même, on rigolait tellement, tu as un bon fond énorme, tu es curieuse, empathique, enthousiaste, exigeante, une force de caractère incroyable que j'aime, tu es généreuse, donne sans compter, modeste et très ouverte d'esprit et capable de remise en question. Je sais que tu es capable de le voir et de le ressentir.Mais tu ne t'aimes pas toi même, tu as des peurs, et cela t'empêche de faire confiance à autrui, à la personne qui t'aime éperdument...Maintenant que j'ai compris, je pourrais réagir autrement. Je ne pense pas que tous les hommes seraient capables de faire cela pour toi, de se remettre en question, de s'analyser et analyser la situation pour essayer d'être meilleur. Tu as des idéaux sur l'amour et les hommes et je suis tellement prêt à toujours travailler et vouloir t'aider dans ces moments.Je suis beau, sensible, intelligent, je suis ce que tu as toujours désiré, un homme qui se bat pour toi, qui t'aime profondément. Et je suis certain qu'au fond de toi tu m'aimes, je le sais babyyou. Tout cela n'était pas faux. Tu étais authentique, la vraie hajni avec moi. Tu n'étais pas fausses comme avec les autres. On a le même caractère, la même sensibilité, je t'en supplie, réfléchis à tout cela... On ne peut pas prendre le risque de détruire tout cela pour des incompréhensions, alors qu'il faut surtout communiquer, communiquer et toujours communiquer. Quand tu te sens mal, il faut que tu m'exprimes les choses.Même sexuellement, je suis prêt à tout, et je t'ai dit que je voulais qu'on aille en club échangiste à condition que cela reste du sexe pour du sexe et rien d'autre. Que notre amour n'en soit pas atteint.Le 3 mars je vais au only4you si tu veux venir avec moi...Sache que je t'aime Hajni... j'aimerais qu'on vive pour nous, pas pour les autres, que tu arrêtes de te laisser influencer. Même si tu n'es pas toujours facile, je suis prêt à faire des efforts pour me contrôler et à me battre pour toi. Je suis même prêt à ce qu'on aille ensemble chez un psychologue, que tu comprennes aussi que tu ne dois pas te mettre dans tous tes états.Je ne peux pas comprendre qu'on prenne le risque de gâcher ce lien magnifique qui nous unissait.... on était tellement beaux toi et moi.J'ai envie de me battre jusqu'à la mort pour toi, je t'aime du plus profond de mon coeur et je te le jure...Pardonne moi mes erreurs, je voulais simplement t'aider, te comprendre, je t'ai toujours défendue et protégée. Laissons le passé derrière nous et construisons un avenir ensemble... je t'en supplie, tu me manques, ce n'est pas une obsession, c'est juste un sentiment d'inachevé, de vide, de gâchis incompréhensible alors que nous avons toutes les clés en mains pour ouvrir la porte du bonheur.Je ne fais que penser à nos magnifiques moments, tout ce qu'on était ensemble, ce qu'on représentait, tout le monde me dit que nous étions si beaux ensemble, épanoui.Je pense à toi, chaque seconde, sans cesse... tu hantes mes rêves hajni. Je suis tellement triste que ce passé nous a bouffé mais je suis tellement prêt à pardonner et à passer au dessus de tout.Et si tu ne veux vraiment plus, alors restons amis, en bons termes, je veux être proche de toi, ton plus grand confident, te voir encore, rigoler ensemble, sortir...Je t'aime éperdument ma petite onie chan... pour la vie...Ton petit poussin diabolique avec un bec orange, gros bisous...Je veux grandir, évoluer, et mourir à tes côtés, peu importe que dans 20 ans tu sois vieille et toute frippée. J'aime ton âme, la valeur de ton coeur, tu es un trésor mon coeur..."Depuis, pas de réponse, pas de nouvelles, je sais qu'elle chasse sur tinder et rajoute même des ex à elle... J'ai l'impression qu'elle est très manipulatrice et en même temps cela ressemble fort à une phase maniaque de bipolaire[/color]